Vous avez déjà entendu parler des vélotaffeurs et des vélotaffeuses ? Ce groupe presque obscur d’adorateurs du guidon qui ne parlent que de bien-être et de beaux mollets ? Ils essaient de vous recruter dans leur mouvement, attention ! Depuis, vous avez développé une parade : une superbe liste de (mauvaises) raisons de ne pas pratiquer le vélo.
- Venir au travail à vélo est plus long qu’en métro ou en voiture. C’est généralement faux. Si vous habitez et travailler à Paris même, circuler à vélo vous évite les bouchons, les pannes et les grèves.
- Venir au travail à vélo est fatiguant. Il existe des vélos avec assistance électrique (VAE) ou des vélos électriques qui vous permettront d’aller travailler en douceur.
- Venir au travail à vélo ne fait pas professionnel. Au contraire ! De plus en plus d’entreprises valorisent les mobilités douces et encouragent leurs salariés à opter pour ces solutions.
- Garer son vélo dans Paris est compliqué. Vous avez entendu parler du service 12.5 ? C’est 1 000 adresses de parking à Paris, soit 10 000 places privées et sécurisées. Et nous continuons d’en ajouter !
- Acheter un vélo coûte cher.** Un vélo neuf peut en effet représenter un coût. Pensez au vélo en location ou d’occasion. Sachez également que des aides de l’État (voir le site du ministère de l’Écologie) sont disponibles et que votre employeur peut également vous indemniser pour votre choix grâce au forfait mobilités durables. (FMD)
- Bonus : se mettre au vélo rend accro. C’est un risque. Affiner en douceur sa silhouette, retrouver du souffle, redécouvrir Paris et ne plus s’angoisser des bouchons et des places de parking peut vite devenir addictif. Rassurez-vous, des groupes d’entraides, appelés les vélotaffeurs peuvent vous accueillir. Vous ne serez plus seul.es.